Logo Borne Mélo Génération 2
>Onze-Plus labellisée Empl'itude (RSE)
>Pourquoi Onze Plus ?
>Trombinoscope
>L'idée : en regardant la télévision
>La borne Mélo, il était temps !!

ONZE PLUS est labellisée Empl’itude (RSE)
Logo Empl'itudeCe label est établi selon le référentiel AFNOR commun à tous les territoires : AC X50-782 : « Référentiel Empl’itude : Actions menées par les organisations d’un territoire en faveur de l’emploi et de l’insertion professionnelle ». Il valorise les actions et les bonnes pratiques des entreprises en matière de ressources humaines et d’engagement sociétal. Il a été remis officiellement par le porteur local AGIRE pour la Communauté Urbaine Creusot Montceau (71) en 2020.

ONZE PLUS marque ainsi son implication en matière de Responsabilité Sociétale (RSE) : agir pour favoriser l’accès à l’emploi et les conditions de travail pour favoriser l’évolution des collaborateurs.

Cet engagement se prolonge avec un engagement dans la démarche d’entreprise à mission.
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Pourquoi Onze PLus ? 1 + 1 = 11+
11+, plus qu'un nom, une démarche de travail.

Logo 11+L'idée de ce nom est venue en lisant le livre ‘’Osez allier stratégie et créativité’’ de Bob Schmetterer (PDG monde de l'agence de publicité Euro RSCG). Il raconte :

« Demandez à un scientifique combien font au mieux 1 + 1. Celui-ci répondra 2. Posez la même question à un manager. Il vous expliquera que la somme de 2 individualités, fait mieux que 2 personnes, c'est-à-dire au moins 3. Enfin posez cette question à un créatif il vous répondra que 1 + 1 = 11 ».

Nous avons alors imaginé la suite de l'histoire en ajoutant une notion d'équipe. En effet le manager réunit le créatif et le scientifique, pour réfléchir ensemble à la question. Le créatif propose sa solution aux autres : 11. C'est alors que le scientifique parle de la notion d'exposant et ensemble ils obtiennent : 1 + 1 = 11+ (Clin d’œil : les 3 actionnaires principaux de 11+ sont un scientifique (Philippe), une manager (Sylvie) et un créatif (Marc)).

Pour notre équipe, 11 + est une démarche de travail, celle de l'ergonomie, celle de la qualité, celle du ‘’non gaspillage’’ de l'énergie (entre autre humaine : pour faire 11+ pourquoi prendre 5+6 alors que 1+1+créativité suffisent). Ainsi le développement de la borne Mélo intègre la démarche 11+. Marier design et ingéniosité technologique, mettre de la créativité dans le modèle de commercialisation, dans celui de la maintenance et dans la recherche du meilleur prix…

Onze Plus est aussi un état d'esprit managérial : travailler en équipe dans un système hiérarchique horizontal où l’autorité dépend de la compétence et de l’expérience de chacun. L’objectif recherché est d’être ‘’bien dans son travail’’ pour atteindre la qualité du travail. C’est dans cet esprit que nous avons fait inscrire dans nos règles de fonctionnement que 5% des dividendes seront reversés aux salariés et que 20 % seront reversés dans des projets de développement (projets qui ne seront pas liés directement à l'activité de Onze Plus). Quels projets ? L'ensemble de l'équipe le décidera en fonction de ses motivations et de ses passions. Ce que nous décidons d'appeler aujourd’hui l'esprit 11+ (qui est peut être utopique pour certains) est le résultat de quelques souvenirs théoriques universitaires, d'expériences vécues dans d'autres entreprises (le management horizontal vécu à proximité de M. Leclerc, PDG de DECATHLON fut marquant) ou encore l'esprit que nous avons établi depuis 11 ans dans l’entreprise PAS à PAS.

Enfin 1+1 =11+ est une manière originale d’exprimer cette idée universelle : une idée simple (1+1 : la borne Mélo) peut apporter beaucoup (11+ amélioration de la qualité de vie des personnes âgées en établissement de retraite).
Trombinoscope
Equipe 11plus - 2024
L'idée : en regardant la télévision
Marc Boudot est le dirigeant de l'entreprise Onze Plus. Diplômé d'un Master 2 de l'IAE (Institut d'Administration de l'Entreprise), Il débute sa carrière au service communication de l'entreprise DECATHLON, puis il sera un temps directeur du développement de la marque de vêtements de ski Degré 7. En 1997, il crée l'agence de communication et d'édition PAS à PAS (qu'il dirige toujours, voir le site).

C'est devant les infos télévisées, lors d'un reportage dans une maison de retraite (canicule 2003), que Marc Boudot imagine la borne Mélo. On y voit une vieille dame engoncée dans un fauteuil le regard complètement vide. Puis derrière la voix du journaliste, une musique d'époque retentie, et en un instant, le visage de la vieille femme s'illumine. Quelques années avant, Marc Boudot a fréquenté des maisons de retraite dans le cadre de l'édition d'un magazine. Il n'a pas souvenir d'y avoir entendu de la musique, il a vu des salles de TV mais pas de lieu dédié à l'écoute musicale.

En 2005, aidé par 4 étudiants de l'université de Bourgogne, une étude a été réalisée qui pose la question : quel rapport entretient la personne âgée avec la musique dans un établissement de retraite ? L’étude confirme : ce public n’a pas un accès autonome à l’écoute musicale, ni un large choix de chansons qui correspondent à son vécu (voir rubrique études et contexte). De cette étude il a été tiré le concept de borne Mélo. En 2007, c’est la rencontre avec Philippe Labouré, informaticien et électronicien, qui va permettre de lancer le prototype, le test puis l’industrialisation. Ont suivi la création de Onze Plus, la protection industrielle et la commercialisation de la borne Mélo.
La borne Mélo, il était temps !!
Au fur et à mesure que nous avancions dans l’étude du projet Mélo, un sentiment désagréable grandissait : alors que la musique est l’activité préférée des personnes âgées, elles n’ont pratiquement plus accès aux mélodies qu’elles aiment. La plupart du temps, les maisons de retraite ont une chaîne hifi avec un choix réduit de CD dont le fonctionnement dépend d’un personnel trop occupé à d’autres tâches.

Ses dernières années les industriels et leurs équipes marketing ont inventé des super lits, des supers baignoires, des super clim pour le ‘’marché des seniors’’ (de belles avancées pour le confort physique). Mais malgré toutes leurs enquêtes et analyses de ce marché ils n’ont pas identifié un besoin essentiel de ce public : écouter de la musique !

Lorsque l’on a testé notre prototype, les personnes âgées ont eu des réactions très positives (lire rubrique ‘’séquence émotion’’). Nous avons pris conscience du potentiel de la borne Mélo sur l’amélioration de leur qualité de vie (une belle avancée pour le confort moral). Nous nous sommes alors dit que notre idée était bonne et que nous avions l’opportunité de créer une entreprise. Mais nous avons aussi pris conscience que cela fait au moins vingt ans que toutes les technologies sont prêtes pour apporter correctement de la musique dans les établissements de retraite. Cela fait 20 ans de perdu pour des milliers de personnes âgées qui aurait pu prendre chaque jour, un peu de plaisir en réécoutant ‘’leurs tubes’’.

Cela pour dire que nous sommes plutôt fiers de notre borne Mélo et de ce qu’elle apporte à nos aïeux : alors que jours après jours, le vieillissement leur offre de moins en moins d’autonomie, voici un objet de loisir qu’ils utilisent à leur guise.